Le jardin blanc… et la ville blanche
Mais où sommes-nous donc ?
tic tac tic tac…
La première photo ressemble au Yosémite mais, pas folles les guêpes, ce n’est pas çà.

Peut-être de nuit alors ? Ce pourrait être Manneken Pis mais ce n’est pas du bronze et je ne vois pas de zizi.

Hou… un lever de lune sur un stupa birman ?

Les fleurs peut-être ? Ce ne sont pas des Echinops…

Des oléandres….

Le nom de l’hôtel ? Les Poèmes d’Homère !
Ah, le nom de la chambre alors ? Nous sommes invités chez un boiteux ?

Ah de jour au petit matin on y voit plus clair. Mais il n’y a personne…

Ah, çà c’est mieux. Nous sommes devant l’Atlandide, du moins d’après Homère. L’explosion du volcan et nous sommes en plein milieu de la caldera immergée.

Et si on nous garde ici, on a de quoi tenir…. mais, pas de panique… il y a plus de Grecs que de touristes… à Santorin.

Çà ne veut pas dire qu’on oublie de vous parler du jardin. Donc, il y a deux jours…
Ce n’est pas facile de rendre un parterre ou un coin du jardin intéressant pendant plusieurs mois, idéalement toute la belle saison du printemps à l’automne. Alors prenons l’exemple de notre jardin blanc.
Les choses sont un peu plus simples quand on s’appuie sur des bulbes et des bisannuelles qui dominent au printemps, puis s’en vont dormir jusqu’à l’année suivante ou se ressèment sans crier gare, laissant place à d’autres annuelles, grimpantes et vivaces qui font le show jusqu’au automne. C’est ce que nous avons fait dans le jardin blanc et çà fonctionne très bien.













Cà ne veut pas dire que les couleurs sont maintenant absentes ailleurs dans le jardin. Que du contraire. Mais çà c’est une autre histoire…
Venez donc nous voir aux portes ouvertes du samedi 8 août. Il suffit de nous envoyer un mail !



Et la semaine prochaine soyez au rendez-vous. Vous saurez tout sur les Echinacea… sans langue de bois…
